"Que trouve-t-on au bord de l’asphalte lorsqu’on se promène à Sao Luis ? Des maisons séculaires qui pleurent leur faste d’antan. Il n’y a plus ni porte, ni fenêtre, ni toit : juste des trous béants refermés à la hâte pour empêcher les curieux d’entrer.
Ou est-ce plutôt pour cacher le spectacle de cette nature luxuriante qui reprend fièrement ses droits dans ce corps ravagé ?
C’est elle qui a gagné tandis que les hommes sont partis, ne laissant derrière eux qu’un «à vendre» ironique et dérisoire." Franck